Frivolité turque

Frivolité turque: ma découverte

Suite à une conversation sur le groupe Facebook, j’ai fait quelques recherches sur la frivolité turque. J’avoue que je connaissais l’Oya à la l’aiguille et au crochet, mais j’ignorais l’existence d’une frivolité aux navettes distincte.

J’ai trouvé quelques images très inspirantes de frivolité turque sur Pinterest (ne menant malheureusement à aucun site, ou à des forums, donc je ne peux vous renvoyer sur aucun lien). Mais les ressources sur ce sujet, ne me semblent pas nombreuses. Je me suis également aidée des vidéos de Karen Cabrera.

J’ai utilisé cette base pour faire quelques essais avec mes fils polyester, puisqu’il me semble que ces fils sont utilisés également en Oya.

Frivolité turque

Le résultat est loin d’être parfait! Le fil qui revient au centre du motif m’a beaucoup perturbé, ni trop lâche, ni trop serré. Je ne parle pas de l’écartement de la pétale qui est loin d’être régulier. Bref, il y a encore à faire!

 

Cependant, je ne peux pas me sortir cette idée de la tête depuis plusieurs jours.  Je trouve que la façon d’envisager la frivolité est tout à fait intéressante. Il me semble qu’il y a là un champ d’exploration très vaste.

De la même façon qu’on le fait habituellement pour faire un point d’esprit flottant, la frivolité turque ajoute volontiers une navette supplémentaire pour réaliser un motif. Il me semble que le travail s’effectue beaucoup moins en fil continu. Mais, de ce fait laisse plus de liberté.

 

Il y a plusieurs types de motifs que je souhaite expérimenter en frivolité turque. Je suis curieuse d’essayer les feuilles avec la même technique que les fleurs, et de la broderie qui est réalisée au centre de certains motifs.

A suivre…

 

3 thoughts on “Frivolité turque: ma découverte

  1. Suite à…..ton anniversaire, j’ai cherché le livre de Kou Nanami qui n’a pas été traduit par Ed. de Saxe.Je l’ai effectivement trouvé chez Handy Hands avec des frais de port 2 fois plus chers que le livre ( plus de quarante euros !) Dommage, il attendra….

    1. Tout à fait Anne-Marie. Le création de ma boutique de matériel émane de ce constat: on ne peut pas trouver tout ce que l’on voudrait en France et les frais de ports rendent impossible certaines commandes à l’étranger.
      En ce qui concerne le livre de Kou Nanami, tu sais bien que je lorgne dessus moi aussi… je ne vais pas résister longtemps!

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